L'ARMEMENT FABRICATIONS DE L'ORDRE MONDIAL.
L'OTAN 😈 les 3×6
😈Acteurs terroristes les drag queen
----😈Acteurs terroristes les drag queen
L’armée américaine développerait une arme laser portative capable de vaporiser ses cibles...
D’après les informations du New Scientist, les divisions de l’armée ont baptisé cette nouvelle arme : laser pulsé ultracourte tactique. Il s’agirait d’une arme laser aux allures des fusils laser dans les films de science-fiction. Néanmoins, comme le souligne l’ingénieur Derryck Reid de l’Université Heriot-Watt, « ce n’est pas de la science-fiction ».
Une arme laser un million de fois plus puissante que toutes les anciennes
En fait, cette arme laser serait capable de déclencher des impulsions, à la manière d’une mitrailleuse, sauf que ce laser pulsé ultracourte tactique serait un million de fois plus puissante que toute autre arme laser conçue jusqu’à présent.
Notons que les armes laser développées par l’US Army par le passé ont été conçues pour faire des trous dans le métal, au point où les véhicules et les drones touchés par ces armes ne pourraient plus être opérationnelles. Mais ce n’est pas le cas pour la nouvelle arme. Cette dernière aurait pour objectif de faire fondre le métal, et non pas juste de le trouer.
Cette arme laser devrait embarquer une autre « fonctionnalité »
Par ailleurs, cette nouvelle arme laser émettrait également des impulsions incroyablement courtes à raison de 20 à 50 impulsions par seconde, comme les balles d’un fusil automatique. L’arme en question aurait été façonnée de telle manière à ce que ses tirs atteignent des cibles sur une longue distance sans se dissiper.
Cependant, l’armée américaine ne compterait pas s’arrêter en si bonne voie. En effet, elle souhaiterait également donner un effet d’impulsion électromagnétique à la nouvelle arme. Autrement dit, lorsque les lasers frappent le métal, ils devraient également perturber tout matériel électronique se trouvant à proximité. Au vu de ces avancées technologiques en matière d’armement, on espère que l’armée américaine compte utiliser ces armes contre des aliens…et dans l’espace. Non ?
Je me retrouve dans les mots de Françoise Giroud dans Lou: Histoire d'une femme libre: "C'est une fille irréductible qui n'en fait et n'en fera jamais qu'à sa tête, non pas par caprice mais par nature". A cela, j'ajouterai le sage conseil de Confucius, mon leitmotiv: "Si tu veux profiter de ta vie, apprends à profiter de ta simple journée"
Lasers, railguns : le futur de la défense navale selon la Navy
L'US Navy vient d'annoncer qu'elle prévoit de déployer son premier laser opérationnel cet été, et qu'elle testera un prototype de canon électromagnétique (rail gun) à bord d'un navire d'ici à deux ans. Une progression logique, après l'essai d'un démonstrateur du LaWS (pour Laser Weapon System) à bord du destroyer USS Dewey en 2012.
Le LaWS équipera cette fois l'USS Ponce pour une période de 12 mois lors de patrouilles en eaux potentiellement hostiles, afin de prouver qu'il est une alternative crédible aux technologies actuelles pour la défense contre les petits aéronefs et les embarcations légères. Il sera couplé au module de détection radar d'un Mk-15 Phalanx CIWS (Close-in Weapon System), un système de défense anti-missiles [...]
Lire l'article sur Industrie&Technologies
6) Guerre secrète + la 5G
Les armes militaires laser sont-elles au point ? - Quora
Qui joue avec des armes à énergie dirigée ? - Morphéus
La Sibérie, la Californie, le Congo belge, l’Amazonie, l’Australie ont subi des départs de centaines de milliers de feux ; du jamais vu dans toute l’histoire de l’humanité. La cause officielle serait un réchauffement climatique de 1° Celsius. Ce n’est pas sérieux ! Des arbres brûlant de l’intérieur, des voitures fondues, des feux sélectifs détruisant les maisons mais pas les arbres alentour, etc… Des milliers d’Américains et d’Australiens affirment avoir vu des rayons laser tomber du ciel et mettre le feu au sol. De nombreuses photos circulent sur internet.
La conception d’armes à énergie dirigée date des années 70. Les tous premiers laser équipant des satellites furent conçus à cette époque puis se sont constamment améliorés depuis 50 ans.
Un satellite peut facilement provoquer un incendie directement depuis l’espace sur une très petite cible. Un avion AL-1A Airborne Laser peut faire de gigantesques dégâts sur n’importe quelle cible sélectionnée au sol. Toutes les armées disposent d’armes à énergie dirigée. Alors que se passe-t-il ? S’agit-il d’une guerre laser cachée au grand public ? S’agit-il de représailles d’un consortium militaire transnational qui entend faire plier des états nations ? Toujours est-il que des psychopathes sont en train de ravager notre planète comme si eux-mêmes n’avaient pas à y vivre !
Pour les armes à énergie dirigée consulter le site : www.ausairpower.net
Publié dans Morphéus n°98 mars avril 2020
Qui joue avec des armes à énergie dirigée ? - Morphéus
Voir la vidéo ci-dessous
Israël-Iran: Une guerre électronique par sabotage informatique
René Naba
Doublée d’une campagne d’assassinats de savants iraniens, la triple campagne virale, Stuxnet, Duqu et Flame, a visé tout autant le système nucléaire iranien que le système bancaire libanais, supposé servir de plateforme de blanchiment au trésor de guerre du régime syrien et du Hezbollah libanais.
En pleine bataille de Syrie, à trois mois des élections présidentielles américaines, en septembre 2012, Israël a même envisagé de lancer contre l’Iran une impulsion électromagnétique (IEM), afin de paralyser l’ensemble des réseaux de transport et de communications, en vue de briser le développement de son programme nucléaire
L’impulsion électromagnétique (IEM)
L’impulsion devait prendre la forme d’une explosion nucléaire en haute altitude destinée à perturber le parc informatique du pays. L’explosion ne devait produire ni souffle, ni radiation au sol, mais provoquer une paralysie des communications et un tarissement du ravitaillement alimentaire, selon des indications fournies le 29 Août 2012 par Bill Gertz sur sa chronique vidéo sur le site conservateur américain «The Washington Beacon».Onde de choc puissante créée par l’interaction entre l’explosion et le champ magnétique terrestre, le potentiel destructeur des IEM est ravageur. Il est d’ailleurs possible de le produire à partir d’un générateur de micro-ondes.
Le virus Stuxnet et Le drone RQ-170
Auparavant, Israël avait lancé, en 2009, une offensive électronique contre le système informatique iranien via le virus Stuxnet, parallèlement à une campagne d’assassinat de savants iraniens. Près de trente mille ordinateurs auraient été infectés par ce virus malicieux qui recherchait dans les ordinateurs le système de supervision de la firme allemande Siemens Win-CC, en charge du contrôle des oléoducs, des plateformes pétrolières et des centrales électriques.En contrepoint l’Iran a réussi a détourné, en décembre 2011, un drone ultrasophistiqué américain qui surveillait les sites nucléaires iraniens, via le Béloutchistan, atténuant quelque peu les contre-performances iraniennes.
Drone furtif et secret, le RQ-170 se présente comme un butin inestimable en ce qu’il a démontré la capacité iranienne à prendre le contrôle du plus sophistiqué des drones d’observation américain, apportant la démonstration de la capacité d’électroniciens hors pairs de ses savants. En disposant désormais d’un prototype pour reproduire l’arme secrète, l’Iran parait avoir réussi à se prémunir des attaques de ce genre d’engins, se propulsant au 2eme rang mondial dans ce secteur d’armement.
Dispositifs et Cibles des protagonistes
Le dispositif israélien (2):Israël est crédité d’un arsenal nucléaire, l’un des plus importants hors du monde occidental, de l’ordre de 150 à 200 ogives nucléaires et d’une puissante aviation de guerre: 710 avions de combat avions, notamment des chasseurs bombardiers F-15 et F-16, 181 hélicoptères de combat, ainsi que de nombreux drones (avions sans pilote) d’attaque et de reconnaissance. Sous l’administration démocrate de Barack Obama, les Etats-Unis auraient fourni à Israël une dizaine d’avions ravitailleurs pour lui permettre des raids à long rayon d’action
Au-delà de la force de frappe nucléaire, le dispositif israélien repose sur le système balistique de la famille américaine des GBU, plus communément désignés de «Bunkers Busters», littéralement des «imploseurs de fortifications». Le GBU 27, d’une longueur 4,2 mètres, pour un poids 900 kg, a une force de pénétration de 2,4 mètres de béton. Le GBU 28 d’une longueur 5,5 mètres, pour un poids 2,268 kg, a une force de pénétration de six mètres de béton. L’onde de choc dégagée détruirait toute construction, jusqu’à cent mètres sous terre.
A la balistique de fabrication américaine, se superpose le dispositif balistique de fabrication israélienne: Popeye-3, missile air-sol d’une portée de 350 km, les missiles de la famille Jéricho 1 Jéricho 2 et probablement Jéricho 3 qui peut en théorie atteindre Téhéran. La marine israélienne a testé avec succès, le 26 juillet 2009, un système amélioré de son missile antimissile «Barak». Tiré à partir d’une vedette Saar-5, le nouveau missile «Barak» a été développé conjointement par des experts de l’armée et de la marine israéliennes, l’Institut Rafael pour le développement des armements et le Centre pour la recherche spatiale d’Israël. Ce système de défense est développé en complément du «Dôme d’acier», voué à l’interception de roquettes d’une portée allant de 4 à 70 km.
Une technologie de pointe produite par l’industrie militaire israélienne lui assure une grande opérabilité tout terrain notamment avec le premier robot soldat produit par la firme «Elbit Systems». Transportable dans le sac à dos d’un soldat, ce robot soldat, le «VIPeR», est opérationnel tout terrain. Armé d’un fusil mitrailleur UZI, télécommandé, il est capable de lancer des grenades et de tirer à la mitraillette. Israël détient le record mondial en matière de dépenses d’armement par habitant, de l’ordre de 1.429 dollars par an par habitant (chiffres 2006). Sa période de circonscription est parmi les plus longues du monde: trois ans pour les hommes et deux ans pour les femmes avec une période de réserve d’un mois par an.
Dans la perspective d’une épreuve de force, les Etats-Unis ont parachevé un nouveau système radar au Qatar en complément de ceux déjà installés en Israël et en Turquie pour former un vaste arc régional de défense antimissile.
La défense balistique iranienne
Le commandement autonome de l’armée de l’air repose sur un double réseau de missiles: Un système de défense et d’interception et un système de riposte représenté par la gamme des missiles balistiques de type Scud-Le système de défense et d’interception
Matérialisé principalement par sept batteries anti-aériennes de basse et moyenne altitude, de quatre lanceurs Tor-M1/SA-15 Gumblet fournis par les conglomérats russes Koupol et Almaz Anteny, et, selon des informations persistantes de la presse, par un dispositif articulé autour du missile russe S-300, l’équivalent du Patriot Pac-3, le missile américain déployé dans le désert du Néguev pour la protection des sites israéliens. Missile de haute altitude, long de 7 mètres, d’une portée de 150 km, portant une charge de 143 kg, le S-300 peut suivre 24 cibles et tirer quatre missiles en même temps. L’Iran disposerait de deux batteries de ces missiles qui peuvent être titrées d’une plateforme mobile (camion).
-Un système de riposte représenté par la gamme des missiles balistiques de type Scud, de la famille Shahab, développée avec le concours de la Corée du Nord et couvrant une distance de 300 à 1.500 kms. Shahab 1 a une portée de 300 km, Shahab 2 de 500 km. Le missile de troisième génération, Sahab 3, est une variante du missile nord-coréen No Dong I. D’une longueur de 16 mètres, pesant 16.000 kg, propulsé par un carburant liquide, Sahab 3 dispose d’une portée de 1500 km, qui le met en mesure d’atteindre Tel Aviv, Karachi, Riyad ou Ankara.
En outre l’Iran assure détenir une «bombe intelligente» baptisée «Ghassed» (messager) de 900 kg. Version améliorée du KAB-500 kr, Ghassed est une bombe planeuse d’origine russe à guidage TV, armée d’une ogive de perforation d’armure ou de bunker. La bombe peut être lancée à partir d’un chasseur-bombardier de conception iranienne «Saegheh» (éclair), produit à partir d’une synthèse de la technologie, russe, chinoise et nord-coréenne. Ce dispositif est complété par une aviation militaire comptant près de cinquante chasseurs-bombardiers peu performants face aux nouveaux appareils de supériorité aérienne du parc occidental, mais que l’Iran s’est appliquée à moderniser par un investissement de l’ordre de huit cent millions de dollars, en particulier la flotte de fabrication soviétique, les Sukhoï et les Mig.
Au plan naval, l’Iran peut aligner une flotte de sous-marins de fabrication iranienne ou russe, une flotte d’aéroglisseurs, l’une des plus importantes du monde, de ROV (véhicules actionnés à distance), de navires de surface de différentes tailles, d’unités aéroportées comprenant plusieurs escadrons d’hélicoptères, des dragueurs de mines et un important arsenal de missiles antinavires. La flotte sous-marine iranienne comprend également des «sous-marins de poche» de fabrication iranienne.
Le brouillage médiatique le plus complet règne quant à la possession par l’Iran du missile russe S-300 d’une portée de 150 km. La presse israélienne a fait état, à deux reprises, de visites secrètes à Moscou des dirigeants israéliens –le président Shimon Pères et le premier ministre Benyamin Netanyahu- en vue d’inciter les dirigeants russes à renoncer à renforcer la défense balistique iranienne. Missile de haute altitude, long de 7 mètres, d’une portée de 150 km, portant une charge de 143 kg, le S-300 peut suivre 24 cibles et tirer quatre missiles en même temps. L’Iran disposerait de deux batteries de ces missiles qui peuvent être titrées d’une plateforme mobile (camion).
Des informations de la presse occidentale ont fait état de la livraison par la Russie de ce missile de haute altitude à l’Iran, sans que toutefois cette information n’ait été confirmée ou infirmée tant du côté russe que du côté iranien. De missiles identiques ont été livrés à la Syrie pour dissuader toute attaque occidentale contre ce pays allié de l’Iran.
Selon ces informations, l’Iran disposerait de deux batteries de ces missiles d’une portée de 150 km, portant une charge de 143 kg et long de 7 mètres. Le S-300 peut suivre 24 cibles et tirer quatre missiles en même temps à partir d’une plateforme mobile (camion). Au-delà du S-300, la défense balistique iranienne repose sur un double réseau de missiles, un système de défense et d’interception et un système de riposte.
-Le drone Ayoub: Une spectaculaire démonstration de leur capacité technologique à forte portée psychologique
Au-delà des supputations, l’Iran et son allié libanais ont apporté la preuve de leur capacité à percer la défense anti aérienne israélienne.
Le lancement le 2 octobre 2012 d’un avion sans pilote du Hezbollah en direction d’Israël a constitué la première incursion aérienne réussie de l’aviation arabe depuis la guerre d’octobre 1973, il y a 40 ans. Son survol du site nucléaire de Dimona, dans le Néguev, a démontré l’étanchéité du «dôme d’acier» israélien, édifié avec de couteux moyens avec l’aide américaine en vue d’immuniser le ciel israélien de toute attaque hostile.
Cet exploit militaire du Hezbollah, et par voie de conséquence de l’Iran, est apparu comme une spectaculaire démonstration de leur capacité technologique à forte portée psychologique tant à l’égard d’Israël et des Etats-Unis, qu’à l’encontre du groupement des pays sunnites gravitant dans l’orbite atlantiste.
Le drone produit par l’Iran, sans doute un clonage du RQ-170, a été monté par le Hezbollah sur le sol libanais. Son nom de code «Ayoub» fait référence à l’un des combattants du Hezbollah, Hussein Ayoub, premier artisan de cette formation tué lors d’une attaque. Par extension au personnage biblique de Job et à sa légendaire patience, comme pour signifier que cette qualité anime aussi les contestataires à l’ordre hégémonique israélo-américain dans la sphère arabo musulmane.
Les cibles potentielles des raids israéliens
Dix sites nucléaires iraniens ont vocation à faire l’objet de cibles potentielles du raid israélien:Cinq sites majeurs, principalement situés dans le sud du pays: Arak, sud de Téhéran, chargé de la production de l’eau lourde, Natanz, sud-est de Téhéran, chargé de l’enrichissement de l’uranium, Ispahan, dans le sud du pays, qui abrite un centre de recherche, Gachine, à proximité de Banda Abbas, le port iranien sur le golfe, qui recèle une mine d’uranium, enfin Bouchehr, important centre de production électrique. Et cinq sites mineurs: trois sites situés au nord de Téhéran (Karaj, Lavizan-Shiam et Parchine), un neuvième Sakhand à la hauteur d’Ispahan, dans le sud du pays, enfin Fordo, dans la région de la ville sainte de Qom.
Au vu dispositif israélien et de sa supériorité manifeste, l’Iran ne parait pas devoir se contenter d’opérations de harcèlement, mais pourrait privilégier le «tir de saturation tous azimuts» afin de neutraliser le bouclier balistique installé tant en Israël que dans les pétromonarchies du Golf. Puis moduler sa riposte en fonction de la frappe adverse en comptant sur son propre hinterland stratégique d’une densité démographique sans pareille pour des opérations «derrière les lignes ennemies».
Avec le concours de ses alliés régionaux, notamment le Hezbollah Libanais, limitrophe de l’Etat Hébreu, la plus importante formation paramilitaire du tiers-monde, ainsi que l’importante communauté chiite du Monde arabe implantée à Bahreïn, en Arabie saoudite, dans la région pétrolifère de l’est du Royaume, dans la zone pétrolière du Nord du Koweït ainsi qu’en Irak et au Liban, dans la zone limitrophe d’Israël.
Tirant les enseignements des trois dernières guerres du Golfe (1979-1989), 1990-1991 et 2003), l’Iran a considérablement renforcé sa flotte militaire au cours de la dernière décennie, présentant ses nouvelles réalisations au cours de grandes manœuvres navales. Lors de ces exercices, en avril et en août 2006, l’Iran a présenté les derniers-nés de sa flotte, notamment le dernier torpilleur de patrouille, petit bâtiment efficace dans l’attaque de grands navires de guerre.
Tout porte à croire que l’Iran pratiquera la guérilla navale à coup d’opérations commandos, comme tend à le démontrer le dernier coup de main contre une unité britannique au printemps 2007 où Téhéran avait réussi à capturer quinze marins anglais. L’Iran ne parait pas devoir, non plus, se contenter d’opérations de harcèlement,
Doté d’une technologie de pointe sans doute parmi les plus avancées du monde notamment en ce qui concerne les équipements électroniques, pouvant atteindre une vitesse de pointe de 45 nœuds, le Joshan de même que son frère jumeau, le Peykan, disposent d’une redoutable puissance de feu. Patrouilleur lance-missiles, armé en supplément d’un canon sous-marin de 76 mm, à usage variable, le plus moderne du monde, appelé Fajr, il peut atteindre des cibles sous-marines et aériennes distantes de 19 km.
la suite:Israël-Iran: Une guerre électronique par sabotage informatique | Mondialisation ...
Guerre nucléaire : le scénario de la fin du monde ? - notre-planete.info
Guerre nucléaire : les risques actuels
Actuellement, les principaux risques d'utilisation d'armes nucléaires proviennent de la Corée du Nord, qui vient de réaliser avec succès plusieurs essais nucléaires dont un de 80 à 120 kt le 3 septembre 2017[1] et de l'Iran qui est soupçonné d'en développer sous couvert d'un programme civil de production d'électricité à partir d'énergie nucléaire. Ces bombes atomiques pourraient être utilisées contre la Corée du Sud, le Japon, les Etats-Unis (pour la Corée du Nord) et Israël et l'Arabie Saoudite (pour l'Iran).Cependant, le danger planétaire pourrait plutôt venir des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne qui se réservent le droit de réaliser des "frappes nucléaires préventives", principalement contre la Russie, accusée de tous les maux. Ces importants regains de tensions géopolitiques dans le monde pèsent sur l'avenir de l'humanité qui est, entrée dans une nouvelle guerre froide : les puissances nucléaires comme les Etats-Unis, la Chine, la Russie, Israël, l'Inde et le Pakistan renforcent leur capacité de dissuasion avec l'émergence de deux nouveaux blocs : Etats-Unis et Europe contre Russie, Iran et Chine.
Ainsi, les dépenses militaires mondiales ont augmenté depuis 2014 alors que d'importants conflits régionaux menacent la stabilité mondiale.
La menace de la stratégie américaine
Les Etats-Unis, ancrés dans une politique interventionniste et impérialiste, se sont toujours gardés la possibilité d'effectuer des frappes nucléaires préventives. Cela « a été notre politique depuis longtemps et fait partie de nos plans pour l'avenir », a déclaré fin septembre 2016 le secrétaire à la Défense américain sur la base aérienne de Kirtland (Nouveau-Mexique, sud-ouest), qui accueille le centre de recherches atomiques.Cette doctrine est particulièrement risquée selon le sénateur démocrate Edward Markey : « Le risque d'une guerre nucléaire menace gravement la survie de l'espèce humaine. Malheureusement, en n'excluant pas d'être les premiers à utiliser l'arme atomique, les Etats-Unis augmentent le risque d'une escalade nucléaire involontaire ».
En effet, le président russe Vladimir Poutine a averti que la Russie riposterait à toute attaque nucléaire par des frappes nucléaires.
La suite : Antarctique = Atlantide
L'Antarctique a été découverte en 1820 pendant l'expédition Russes de Faddeï Bellingshausen et de Mikhaïl ...
Voir dans Google :
L'Antarctique, continent découvert par les Russes - Sputnik France
Les grandes puissances campent en Antarctique.
L'ORDRE MONDIAL
Tout Etat qui a des ambitions internationales se doit d'être présent en Antarctique. J'en ai compté 28 !
Depuis le 1er décembre 1959, 53 pays ont ratifié le traité sur l’Antarctique. Les premiers pays signataires ont été: l'Afrique du Sud°+, l'Argentine°*+, le Chili°*+, l'Australie*+, la Nouvelle-Zélande*+, les États-Unis°+, la Russie (ex-URSS)°+, le Japon+, la Norvège*+, le Royaume-Uni°*+, la France*+ et la Belgique°+.
Ils ont été rejoints par 17 parties adhérentes consultatives: le Brésil°+, l'Uruguay+, le Pérou°+, l'Equateur+, la Chine+, la Corée du sud+, l'Inde+, l'Allemagne+, l'Espagne°+, l'Italie+, les Pays-Bas, la Finlande+, la Suède+, la Pologne+, la République tchèque (ex-Tchécoslovaquie), la Bulgarie+, l'Ukraine+.
24 autres pays n'ont pas le statut consultatif. Les principaux sont le Canada (qui préfère se concentrer sur l'Arctique), Cuba, la Turquie, le Pakistan, la Malaisie, le Kazakhstan, la Corée du nord, la Roumanie+, la Suisse, le Danemark... et, le dernier en date (2015), l'Islande.
Les pays signalés par un astérique (*) possèdent en Antarctique une portion de souveraineté territoriale obtenue pendant la première moitié du XXe siècle. Possession théorique car le découpage du continent en parts de gâteau que l'on voit sur les atlas n’est pas reconnu par la communauté internationale en raison du traité de 1959. Il s'agit de (dans le sens des aiguilles d'une montre): la Norvège (Terre de la Reine-Mau, île Pierre 1er), l'Australie (Terre d'Enderby, Terre de Wilkes, Terre Victoria), la France (Terre Adélie et quelques îles australes), la Nouvelle Zélande (Barrière de Ross), enfin le Royaume-Uni, l'Argentine et le Chili qui se disputent la péninsule antarctique et la banquise de Ronne.
Ceux signalés par un rond (°) se réservent le droit de faire une revendication sur une partie du territoire. La Russie a fait connaître son intention de revendiquer l'ensemble des terres "découvertes par les Russes", ce qui pourrait signifier la totalité du continent. La Chine n'a pas fait connaître ses intentions, mais c'est un secret de polichinelle qu'elle revendiquera au moment voulu une part (et pas la moins prometteuse) du territoire.
La Grande-Bretagne, elle aussi, revendique des droits sur un plateau continental d'un million de km² au large de l’Antarctique qui s'étend jusqu'aux îles Falklands/ Malouines. L'Argentine et le Chili ont les mêmes prétentions dans le prolongement de leur territoire national respectif. Le méridien qui traverse la Terre de feu leur sert de frontière depuis 1881. Mais en 1978, les régimes militaires ont failli déclencher un conflit armé pour la possession de trois îlots à l'extrémité du canal de Beagle.
Les 28 pays signalés par un plus (+) possèdent au moins une station de recherche permanente en Antarctique. Elles sont établies principalement en bordure des côtes et sur les îles environnantes. Seulement 5 sont implantées à l'intérieur des terres glacées (Kohnen-Allemagne, Dôme Fuji-Japon, Vostok-Russie, Concordia-France-Italie, et Amundsen-Scott-USA au pôle sud)
Sous des prétextes scientifiques, ces bases, pour une partie d'entre elles, cachent (ne soyons pas naïfs) des visées géopolitiques et stratégiques. On en dénombrait dernièrement 70, mais ce chiffre ne fait qu'augmenter tant cette région attise les convoitises. Les grandes puissances se positionnent; Parmi les pays du G20, seuls l'Arabie saoudite, l'lndonésie et le Mexique n'ont pas encore manifesté d'intérêt pour cette région du globe, mais cela pourrait arriver un jour, soit disant pour observer les manchots. Leur espoir à tous est, évidemment, d'en avoir un jour une parcelle, et de pouvoir exploiter les ressources (pétrole, gaz, métaux) que recèle cet immense continent.
Laissée à l'écart, la Terre Mary Byrd, qui fait face au Pacifique sud par la mer d'Amundsen, est une "terra nullius", c'est-à-dire une zone neutre inoccupée, revendiquée par aucun gouvernement. Elle pourrait constituer "la" réserve natuelle de l'Antarctique dans la 2e moitié du XXIe siècle, la bonne conscience écologique des grandes puissances, une fois que les barrières auront été levées pour tout dévaster.
Le traité a commencé à être négocié en 1951, en pleine guerre froide, sous l'égide des USA et de l'URSS. Depuis le 23 juin 1961, il place l'Antarctique sous un statut "dépolitisé" et démilitarisé qui le met à l'abri de toute revendication au sud du 60° parallèle. Il ne contient pas de durée limite. Toutefois, un protocole dit "de Madrid" relatif à la protection de l'environnement, voulu notamment à l'époque par le commandant Cousteau, est entré en vigueur en 1998. Il interdit pendant 50 ans (donc jusqu'en 2048) toute exploitation minière en Antarctique et désigne le continent comme une "réserve naturelle consacrée à la paix et à la science". Mais après... ???
La Chine et la Russie ont coché la date du 14 janvier 2048 sur leur agenda. Elles sont déjà présentes en Antarctique pour des motifs "scientifiques". Les USA aussi, mais la presse en parle moins. Ce n'est un secret pour personne que les grandes puissances se préparent à en exploiter les ressources.
La Chine ambitionne de devenir une puissance en Antarctique
AFP, L'express - 08 nov 2017
Voir aussi :
https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/la-chine-ambitionne-de-devenir-une-puissance-en-antarctique_1958872.html
Les grandes puissances campent en Antarctique - Le monde d'Antigone
ANTARCTIQUE: DOC VF SUR LA TECHNO-MAGIE DE L'AHNENERBE POLES-SUD, TERRE CREUSE MDDTV
Voir dans Google :ANTARCTIQUE: DOC VF SUR LA TECHNO-MAGIE DE L
https://youtu.be/PTvj0bNwFIs
L'expédition américaine lancée en 1946. Par L'amiral Byrd.
L’auteur de la vidéo ne s’arrête pas seulement là, mais il saupoudre aussi le tout de paranormal. Il utilise notamment les propos de l’amiral Richard Byrd à son retour de l’opération Highjump, une expédition américaine lancée en 1946. "L'amiral Byrd est rentré de l'Antarctique et il était complètement fou", raconte Frédérique Rémy . "Il a dit qu'il avait vu des extra-terrestres."
En sciences, on ne montre jamais une photo comme ça sans donner une idée de l'échelle", décrypte Anthony Mémin. "Ça peut être aussi une photo d'une roche avec un trou."
A l’époque, la taille de cette expédition américaine, composée de plus de 4 000 hommes, a laissé certains penser que son but n’était pas uniquement scientifique. Il s'agissait, d'après l'auteur de la vidéo, vu leur nombre et leur équipement, de trouver une entrée vers un monde paranormal souterrain. "Ils sont effectivement partis comme pour faire la guerre, mais d'abord parce que c'est un milieu très dur, explique Frédérique Rémy. Il y a plein d'explorateurs qui sont morts là-bas. Par ailleurs, s'ils étaient si nombreux, c'est qu'on était à la fin de la guerre et qu'il fallait occuper les jeunes de retour."
Si autant de thèses farfelues s'agrègent en Antarctique, c’est aussi parce qu’"il y a pas mal de photos qui sont assez ambiguës.
À ne pas oublier que L’amiral Richard Byrd.
Il a décrit notre terre Mère Gaia, comme un globe, et non pas comme une terre plate, voilà pourquoi ?
Voir dans Google :
L'Amiral Richard BYRD et sa trés étrange rencontre en Antarctique le 19 ...
Voir dans Google :
Les bases russes en Antarctique : entre science et fierté nationale
16 février 2017 By: Adrienne Charmet
L’histoire de la présence russe en Antarctique commence avec l’Année Géophysique Internationale de 1957. En préparation des programmes de recherches qui allaient alors être menés sur les zones polaires, l’URSS a alors créé un organisme officiel chargé de mettre en place des expéditions en Antarctique, dès 1955. C’est le début d’une longue histoire de bases antarctiques au service de la science et de la grandeur de l’URSS, puis de la Russie.
En pleine guerre froide, l’URSS à la conquête de l’Antarctique
Tracteurs à chenille utilisés pour la 4e expédition antarctique soviétique, en 1960 – Alex Bakharev
Le programme antarctique russe, appelé Expédition antarctique soviétique (EAS), est mené sous l’autorité de l’Institut de recherche Arctique et Antarctique (Арктический и антарктический научно-исследовательский институт), fondé en 1920. Il a conduit d’abord les scientifiques russes entre le 86e et le 11e degrés de longitude Est, à l’Ouest de la terre Adélie, puis au cœur du continent Antarctique.
Lorsque l’URSS a commencé à entrer dans les expéditions antarctiques, longtemps après le Royaume-Uni, les États-Unis ou même la France, l’enjeu était de taille : les USA prenaient de l’avance dans la conquête spatiale, en pleine guerre froide, il fallait que l’URSS se distingue de façon éclatante dans l’exploration polaire. Alors que jusqu’à présent le seul contact de l’URSS avec l’Antarctique se résumait à quelques chasses à la baleine à la fin des années 1940 au large des côtes antarctiques, les moyens engagés à partir de 1955 sont à la hauteur du défi scientifique et géopolitique.
Ce ne sont pas moins de six bases qui sont alors créées, faisant entrer de façon spectaculaire l’URSS dans l’histoire des expéditions antarctiques, alors qu’ils s’étaient jusqu’à présent concentrés sur les recherches et explorations arctiques, notamment par de nombreuses expéditions sur des bases dérivantes au Nord de la Russie.
Le traité sur l’Antarctique, signé en 1959 et entré en vigueur en 1961, a posé les bases de la gouvernance de l’Antarctique, consacrée aux recherches scientifiques dans un modèle absolument pacifique : toute militarisation ou tentative d’expansion territoriale y est interdite. Ce statut original, créé en période de tension géopolitique extrême, a donné à l’activité soviétique puis russe en Antarctique un caractère particulier : l’exploration scientifique se fait pour le bien de l’humanité, par l’activité et la coopération scientifique, mais porte également une part de prestique national importante. Trente-six expéditions (sur deux ans chacune) ont été menées par l’URSS entre 1955 et 1992. Après une période troublée par la fin de l’URSS, les expéditions russes ont repris leur activité et l’exploration antarctique russe, si elle est moins spectaculaire et politique qu’auparavant, continue néanmoins. Depuis le début de la présence russe en Antarctique, et même lorsque l’URSS était fermé à l’extérieur, les scientifiques et marins russes ont toujours eu des contacts avec les scientifiques des autres pays présents sur le continent blanc.
Des bases russes à vocation scientifique
L’église de la Trinité, sur la base de Bellinghausen, consacrée en 2004. CC-BY-SA / Akulovz
Les bases russes en Antarctique, au nombre de six, ont des objectifs complémentaires :
La base Mirny est la première à avoir été créée, en 1956. Elle est située sur la mer de Davis, à l’Est du continent Antarctique. Elle peut accueillir environ 170 personnes et travaille beaucoup sur la glaciologie et la sismologie, ainsi que sur l’observation des aurores australes.
La base Sovetskaïa, créée en février 1958 dans le cadre de la 3e expédition antarctique soviétique, a essentiellement servi lors de l’Année Internationale de Géophysique. Elle a été fermée en janvier 1959. Molodyozhnaya a été ouverte en 1961, fermée en 1990 puis réouverte en tant que base saisonnière, à l’Est de l’Antarctique, à partir de 2006. De la même façon la station de Leningradskaya, installée en 1971, a fermé en 1991.
La base de Bellingshausen est située sur l’île du Roi-Georges, dans l’archipel des Shetland-du-Sud au large de l’Antarctique. Elle a été créée en 1968 et compte une trentaine d’habitants, en continu depuis sa création, ainsi qu’une église orthodoxe consacrée en 2004. Les principales activités de la base sont liées à la surveillance environnementale et météorologique, ainsi qu’à la cartographie. Elle est reliée par des routes précaires aux stations chiliennes, chinoises et uruguayiennes situées sur la même île.
La base de Progress est la dernière-née des bases soviétiques puis russes. Elle a été inaugurée en 1989. Elle a cessé provisoirement d’être occupée entre 2000 et 2003, puis a brûlé en 2008 avant d’être reconstruite en 2013. Cette base, qui dispose d’un terrain d’aterrissage, sert notamment de point de départ pour la station Vostok, à l’intérieur du continent.
Vostok et le pôle Sud d’inaccessibilité : la consécration russe aux extrêmes
Buste de Lénine au pôle Sud d’inaccessibilité Cc-BY-SA / Cookson69
La plus emblématique station antarctique russe actuelle en Antarctique est la base Vostok. Créée en 1957 lors de l’Année Géophysique Internationale, elle a été au coeur de la course à la performance scientifique dans le contexte de guerre froide. En effet, la base Vostok est la plus isolée du continent Antarctique, à 1260 kilomètres de la côte la plus proche, et à 1250 km du pôle sud géographique. Elle a servi de base de départ à l’expédition russe ayant atteint le pôle Sud d’inaccessibilité (point le plus éloigné de toute côte), le 14 décembre 1958. L’expédition de 18 personnes a installé au pôle Sud d’inaccessibilité une base, qui n’a pas d’occupants permanents, et a été entièrement recouverte par la neige, seul restant visible un buste de Lénine commémorant la conquête russe du pôle. La station du pôle Sud d’inaccessibilité est un des premiers monuments historiques classés en Antarctique.
La base de Vostok est située à une altitude de 3488 m, et au dessus du plus grand lac du monde situé sous la glace, le lac Vostok (250 km de long, 50 km de large). Cette configuration ainsi que son isolement géographique et le vent violent qui y souffle en font l’endroit habité le plus froid au monde. La plus basse température enregistrée sur terre l’a été le 21 juillet à Vostok, avec -89.2°C. La température moyenne en hiver y est de -65°C, pour -30°C en été. Les conditions de vie y sont si extrêmes qu’elle sert de lieu d’étude pour les recherches sur les voyages vers Mars.
La base Vostok est consacrée à des forages sous la calotte glaciaire, depuis les années 1970. Le forage, qui atteint une profondeur de 3623m, est observé de très près par l’ensemble de la communauté scientifique internationale, parce qu’il permet de connaître le climat passé sur une période qui remonte à 420 000 ans. C’est donc un instrument inestimable dans l’étude de l’évolution du climat. Le lac souterrain Vostok a été atteint en 2012, redonnant un lustre nouveau aux expéditions antarctiques russes par l’exposition mondiale du succès des forages, et de la richesse scientifique qui y est étudiée.
Carte des bases scientifiques en Antarctique, 2009. CC-BY-SA / Teetaweepo
Après les incertitudes des années 1990, où les expéditions scientifiques russes ont été très ralenties, en nombre et en investissement, les années 2000 ont vu un réinvestissement certain de la Russie en Antarctique. Respectant les règles internationales du continent Antarctique, les expéditions russes coopèrent avec celles des autres pays participants à l’étude et à l’occupation de l’Antarctique. Les tensions géopolitiques qu’on observe depuis quelques années en Arctique ne sont pas du tout aussi présentes en Antarctique. Cependant, les difficultés économiques actuelles de la Russie ralentissent les investissement et, après des décennies où ils ont été fêtés et reconnus comme des héros, le prestige immense des scientifiques et marins soviétiques (les “poliarniks”), parfois comparés aux cosmonautes, a laissé place à une forme de méconnaissance des actions menées par la Russie en Antarctique auprès de la population.
La suite
Voir dans Google :
David Wilcock | Corey Goode: L'Atlantide de l'Antarctique | Stop ...
Le globe 😈
( Ils ont tordu l'océan )
24 janv. 2019 · Sommes-nous sur le point d'apprendre que des ruines anciennes ont été découvertes en Antarctique ?
Voir sur Google :
David Wilcock | Corey Goode: L'Atlantide de l'Antarctique | Stop ...
Publié par :
STOP MENSONGES
Sommes-nous sur le point d’apprendre que des ruines anciennes ont été découvertes en Antarctique ?
Y a-t-il une Alliance qui s’efforce de vaincre la plus grande menace à laquelle l’humanité ait jamais été confrontée sur terre ?
L’Atlantide antarctique pourrait-elle faire partie d’une divulgation totale ou partielle ?
Joignez-vous à David Wilcock pour un voyage de découverte palpitant, en commençant par la première partie où il présente des données sur le Programme spatial secret et partage la scène avec Corey Goode, un initié légendaire.
C’est le meilleur résumé public que David et Corey ont fait de cette histoire incroyable qui a captivé la communauté des OVNI.
La deuxième partie commence à 53 minutes, avec David reliant les points entre les renseignements provenant de multiples initiés pour arriver à une conclusion étonnante – que nous sommes sur le point de publier de nouvelles informations majeures qui transformeront tout ce que nous pensions savoir sur la vie sur terre.
Une civilisation de géants “prédamiques” au crâne allongé semble s’être écrasée sur un continent que nous appelons aujourd’hui l’Antarctique il y a environ 55 000 ans.
Divers groupes que nous appelons collectivement l’Alliance travaillent pour vaincre le nouvel ordre mondial Cabal / Illuminati / New World Order, rendant ainsi les manchettes plus folles de jour en jour.
Si l’Alliance réussit, leur plan est maintenant de commencer le processus de divulgation en nous disant qu’il y avait une civilisation en Antarctique. Nous en voyons déjà de multiples et convaincantes allusions dans les médias d’entreprise.
Découvrez ce que les initiés nous disent et aidez-nous à faire passer le mot ! Il s’agit d’un extrait de deux heures et demie des présentations de David le vendredi et le samedi à l’Expo Conscious Life 2017.
Dans leur forme originale, ils durent six heures. David a également parlé pendant trois heures lundi, présentant un nouveau modèle incroyable du Cosmos basé sur la géométrie sacrée – et prouvant que le Soleil va libérer une explosion d’énergie transformatrice d’ADN dans un avenir proche.
Rendez-vous sur http://consciouslifestream.com pour commander la série complète de vidéos de neuf heures, connue sous le nom de David Wilcock Trilogy Pass.
Republier cette vidéo est du vol, alors partagez le lien avec vos amis, mais ne le retéléchargez nulle part ailleurs.
Notre équipe fait des démontages d’émission et cela pourrait mener à la perte de votre canal. Aidez-nous en vous abonnant à ce canal !
Et n’oubliez pas d’aller voir David sur Gaia à http://gaia.com/davidwilcock.
Vous pouvez voir tout ce qu’il a sur le réseau, ainsi que 7000 autres titres métaphysiques et de recherche de vérité uniques, pour 99 cents le premier mois.
Enfin, inscrivez-vous sur http://dwilcock.com pour être informé des nouveaux articles et vidéos dès leur sortie, et pour recevoir des cadeaux gratuits et des mises à jour sur l’Ascension de David dès qu’ils seront disponibles.
Publié par :
STOP MENSONGES
(OVNI COBRA SECTE ) Vidéo du 10 Mai 2018
Les groupes des reptiliens Cobra, lalcyone le journal
Voir dans Google :
https://www.lalcyone.com/declassification-des-dossiers-ovni-2/
Regardez "Déclassification des dossiers OVNI 2" sur YouTube
Voir dans Google :
https://youtu.be/4krUn8hQnyM