dimanche 24 février 2019

35) Message important !!!


 

Datation de tous les événements.

Message important !!!

Pour les Gouvernements de la terre...
Mercredi 16 janvier 2019
Prenez conscience !!!
Pour 2019, il risque d'y avoir un événement très graves, pour l'humanité.
Voir dans ce poste: le sous-marin K-219
Si vous voulez, vous pouvez toujours éviter cette évènement catastrophique, mais il faut le vouloir !!!

20) Il me fait penser à l'année 2019 


Nostradamus
Il nous a informés par des nombreuses fois, les datations des évènements.

Pour ce qui est du jour et de l'heure, personne ne le sait, ni le Fils, mais le Père seul. 

 

Le 02 octobre 2020

Risque d'explosion du croiseur nucléaire - ladepeche.fr

Publié le 24/03/2004 

Par crainte d'avarie sérieuse, le croiseur lance-missiles russe à propulsion nucléaire Pierre-le-Grand a été ramené précipitamment à quai, probablement à son port d'attache à Severomorsk (Grand Nord).

« Tout est en ordre dans les parties où se rendent les amiraux et là où ils ne vont pas, le bâtiment est dans un tel état qu'il peut exploser à tout moment, y compris dans le réacteur nucléaire », a déclaré hier l'amiral Vladimir Kouroedov. 


Le croiseur est l'astéroïde 1999 KW4

Le plus grand croiseur nucléaire du monde, lancé en 1996 après avoir passé plusieurs années à moitié achevé en raison des restrictions financières, devra rester immobilisé au moins deux semaines. « Pendant ce temps, toutes les insuffisances devront être éliminées », a insisté le chef de la marine russe. Ce dernier a ajouté qu'« une telle attitude des commandants conduit à l'anéantissement de la flotte », faisant allusion au piteux état de l'armement russe. Le bâtiment, reconnu « meilleur bateau de la Flotte du Nord » en 2003, avait déjà connu des « insuffisances » lors de récents exercices en mer de Barents. Selon une hypothèse des services secrets russes, le même navire serait par ailleurs responsable du désastre du sous-marin nucléaire Koursk. Un missile anti-sous-marin tiré par erreur par le Piotr Veliki aurait coulé, en 2000, le submersible en mer de Barents entraînant la mort de 118 marins.

Une source au sein de l'état-major de la Marine explique toutefois cette décision d'immobiliser le croiseur par un règlement de comptes au sein de la marine russe.

(Problème de réacteur nucléaire)

Pierre le Grand (croiseur) — Wikipédia

 

Ici : Révélation sur Le croiseur 

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Ajouter le 1 octobre 2020

Norvège: une fuite radioactive détectée sur l'épave d'un sous-marin russe

Au large de la Norvège, une grosse fuite radioactive a été mise à jour. Celle-ci serait en réalité bénigne.

The institute of Marine Research
Une photo du sous-marin Komsomolets retrouvé au large de la Norvège.

NORVÈGE - Une radioactivité 800.000 fois supérieure à la normale. Rassurez-vous, cela ne représente aucun danger pour quiconque se trouve actuellement en mer de Norvège, d’après l’Autorité norvégienne de sécurité de la radioactivité et du nucléaire (DSA).

Un vieux sous-marin soviétique y a en effet été retrouvé et présente une radioactivité très élevée, rapporte la BBC

Komsomolets -ou K-278- a coulé le 7 juillet 1989, après un incendie, tuant 42 personnes à bord. Trente ans plus tard, de l’eau a été prélevée d’une de ses bouches de ventilation.

The institute of Marine Research

Les résultats sont plutôt effrayants: jusqu’à 800 Bq (Bequerels) par litre, alors que la DSA annonce que le taux moyen en mer de Norvège est de... 0,001 Bq par litre.

Des torpilles dotées d’un nez avec du plutonium

Cette présence de radioactivité est notamment due à la présence de torpilles dotées d’un nez avec du plutonium.

The institute of Marine Research

Pourtant, la DSA assure qu’il n’existe aucun danger pour la vie marine norvégienne. L’épave est bien trop profonde (-1700 mètres) et les radiations se diluent suffisamment dans l’océan Arctique, écartant ainsi tout danger.

Norvège: une fuite radioactive détectée sur l'épave d'un sous ...

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Nostradamus dévoile la collisions  des 2 sous-marins RUSSE et USA
La collisions à bien eu lieu
 
Drapeau des États-Unis États-UnisDrapeau de la Russie Russie

L’incident sous-marin au large de l'île Kildine fait référence à une collision entre le sous-marin nucléaire USS Baton Rouge de l’United States Navy et le sous-marin nucléaire K-276 Kostroma de la Marine russe près de la base navale russe de Severomorsk, le . L'incident a eu lieu alors que le USS Baton Rouge était engagé dans une mission secrète, apparemment destinée à intercepter les communications militaires russes. Bien que la majorité des sources affirment que le sous-marin américain avait pris la fuite, il est estimé que ni le Kostroma, ni le Baton Rouge n'étaient en mesure de se localiser l'un et l'autre avant la collision.

Incident sous-marin au large de l'île Kildine — Wikipédia

 
Mais plutôt au K-276 Kostroma avec un réacteur
 


k-278 komsomolets ou le K-236 kostroma
Avec le même défaut des autres sous-marins Russe Incident sous-marins au large de l'île Kildine (Plutôt couler)
 
 

Incident sous-marin au large de l'île Kildine — Wikipédia

L'île Kildine (en russe : Кильдин) est une petite île de la mer de Barents, elle est ... Le 21 août 2003, le sous-marin russe K-159 coule au large de l'île Kildine alors qu'il était remorqué ...

Île Kildine k-159 — Wikipédia

Nous avons oublié de mentionner dans les environs de l'île Kildine que deux sous-marins ayant coulé le K-276 est le K-159

 





Sous-marin de classe Alfa: Union soviétique, sous-marin, technologie des réacteurs nucléaires, sous-marin soviétique K-278 Komsomolets, sous-marin soviétique K-222

Le 11 février 1992, la flotte nucléaire soviétique de la flotte nordique K-276 du projet 945 ... Le sous-marin nucléaire de l'URSS avec des missiles de croisière

 Le projet 705 « Lyra » (en russe : Лира) est une classe de sous-marins nucléaire d'attaque soviétique, connue en Occident sous son code OTAN de classe Alfa. Ils ont été les sous-marins les plus rapides au monde, et ceux à usage militaire pouvant atteindre les plus grandes profondeurs de plongée, seul le K-278 Komsomolets étant capable d'égaler leurs performances en plongée maximale. Malgré leurs remarquables caractéristiques, ces sous-marins se révélèrent difficiles à maintenir durant leur vie opérationnelle, et finalement leur utilité tactique fut vite contestée, même au niveau des instances soviétiques, ce qui limita leur rôle à un emploi presque expérimental, qui prit fin au début des années 1990. De nos jours, il n'existe plus qu'un seul exemplaire, non opérationnel, de ces navires, le K-373, stocké à la base navale de Zapadnaïa Litsa, tous les autres ayant été démolis. Classe Alfa mis en service de 1972 à 1983

Le sous-marin ne ressemble pas au k-278 komsomolets avec deux réacteurs

 
Mais plutôt au K-276 Kostroma avec un réacteur
 


Les dégâts sur le kiosque du K-276 suite à la collision.




 
  

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Classe : K-276 Kostroma, projet 985
Marine russe Quille posée 21 avril 1984 Lancement 26 juillet 1986 Armé 27 octobre 1987 Statut En service ÉquipageÉquipage 59 officiers Caractéristiques techniques Longueur 107 m Maître-bau 12,2 m Tirant d'eau 8,8 m Déplacement 5 723 t lège, 6 927 t à charge Propulsion réacteur nucléaire OK-650A Vitesse 35 nœuds en plongée

Longueur Sierra I 107 m Maître-bau Sierra I12 m Déplacement Sierra I 7 200 t (surface)
8 100 t (plongée) Propulsion 1 réacteur OK-650 à eau pressurisée de 190 MW Vitesse Sierra I 34 nœuds

Incident sous-marin au large de l'île Kildine — Wikipédia

La Russie a construit plus de 450 réacteurs nucléaires pour sa flotte de guerre.
Les sous-marins nucléaires russes...

 

Devant nôtre créateur la lumière nous sommes tous coupables l'un.

 

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2000 L'ÉTAT piteux de l'armement RUSSE.


LE TEMPS
Laurent Nicolet, Moscou
 

Publié samedi 30 décembre 2000
Fidèle à ses promesses de puissance, le président Poutine renvoie des bâtiments de la marine sur «tous les océans du monde». Parallèlement, la Russie a battu en 2000 son record de ventes d'armement. L'armée russe se trouve pourtant dans un état déplorable, dotée d'équipements surannés. Le moral des troupes est au plus bas et les officiers songent pour la plupart à se reconvertir.

«Les bâtiments de guerre russes doivent être présents non seulement dans les régions traditionnelles mais aussi dans les eaux internationales.» La nouvelle, annoncée par le commandant en chef de la marine russe, l'amiral Vladimir Kouroïedov, n'a eu droit hier qu'à quelques lignes indifférentes dans la presse nationale. Et pourtant le fait que l'an prochain une dizaine de navires russes iront se promener dans l'Atlantique, la Méditerranée et l'océan Indien, apparaît, comme une tentative de la flotte russe de sortir la tête de l'eau, après une série d'événements catastrophiques et humiliants – réduction des budgets, des effectifs, détérioration du matériel, salaires impayés et surtout, surtout, le drame du Koursk en août dernier. Bien sûr, la balade des navires russes «sur tous les océans du monde» comme au bon vieux temps soviétique, doit sans doute plus à l'autopersuasion psychologique et au plaisir naïf de réaffirmer une présence militaire disparue qu'à une réelle suprématie retrouvée.
La suite:

Pour entrer dans le troisième millénaire, les militaires russes ...

Quand Poutine a accédé officiellement à la présidence en 2000, l’armée russe était plus ou moins dans l’état où elle se trouvait en 1991. Beaucoup d’armements et d’équipements avaient plus de dix ans 

 La suite :

L'armée russe entre déclin, réforme et renaissance | Cairn.info

 


 Peut-on recycle les déchets nucléaires

Le Monde, 10/06/05:

La sécurité nucléaire de la flotte russe mise en cause

La Russie a construit plus de 450 réacteurs nucléaires pour sa flotte de guerre, dont la puissance est comparable à celle de toutes les centrales nucléaires russes. Les deux tiers de ces réacteurs se trouvent au nord-ouest de la Russie. "Certaines installations nucléaires sont dans un tel état qu'on ne peut pas exclure une réaction en chaîne" et donc un accident nucléaire, a relevé Mark Gerchikov, coordinateur d'un rapport préparé par le groupe NNC (National Nuclear Corporation, Grande-Bretagne et Canada), en coopération avec le ministère de l'énergie atomique russe, présenté vendredi 10 juin à Moscou. Le Monde, 10/06/05: La sécurité nucléaire de la flotte russe mise en cause

 

Avec près de 120 mètres de long et plus de 11 mètres de haut, équipé de deux réacteurs nucléaires, le submersible K-278 Komsomolets (désignation Otan Mike)

“Les niveaux que nous avons détectés sont clairement au-dessus de ce qui est normal dans les océans, mais ils ne sont pas alarmants”, a expliqué Hilde Elise Heldal, en charge de l’expédition.

Le Komsomolets, long de 117 mètres, avait navigué pour la première fois en 1983 et pouvait descendre jusqu’à 1250 mètres en mer. 

Un engin à double coque, dont l'interne était en titane. Dessiné en 1966, l'engin fut repris en 1974, la quille n'étant posée que le 22 avril 1978 à Severodvinsk. Le K-278 (ici à droite) sera lancé le 3 juin 1983 et reçu offciellement par la Marine russe le le 28 décembre 1983. L'engin surprendra, en reprenant des caractéristiques propres à la classe Alfa, dont le nombre peu élevé de marins à bord (57, puis 64 maximum), preuve que l'automatisation à bord a été bien conçue, comporte aussi une capsule de sauvetage dissimulée dans le kiosque, sous une ouverture en V. La cabine de sauvetage est située au milieu des 7 compartiments principaux de l'engin, dont le 2eme et le 3eme bénéficient de protection renforcée pour servir de refuge en cas de problèmes ; l'accent a été mis sur la sécurité, semble-t-il, à l'inverse de la mauvaise réputation qu'a la Marine soviétique à l'époque : en ce sens, l'état d'esprit avait changé chez les russes, qui n'en étaient plus semble-t-il à sacrifier inutilement leurs marins (l'affaire du Koursk relancera le débat sur le sujet)...

Les folies de la guerre froide (28) : dompter le titane, un problème ...

Le 9 juil. 2019 Selon un échantillon prélevé à côté du réacteur, le Komsomolec émet cent mille fois la limite admissible. Un autre échantillon n'a montré aucun risque de rayonnement. Le sous-marin soviétique a coulé en 1989.…

K-27 en acier classique et à la forme d'U-Boot, apparu dès 1962, après cinq années de construction. L'engin tuera 9 marins par radiation après un emballement non maîtrisé de son réacteur : la mise au point s'avérera en effet très difficile. Le mélange de plomb et de bismuth utilisé dans le réacteur ayant un point d'ébullition élevé (1 679 °C), Il était en effet inutile de maintenir le réacteur sous pression, comme c'était le cas avec les réacteurs à eau refroidie. En revanche, il fallait maintenir les réacteurs constamment en chauffe de sorte que la solution de métal ne se solidifie en marche, comme cela aurait été le cas si la température était tombée en dessous de 125°C. Si la solution durcissait, il devenait impossible de relancer le réacteur avec l'agent de refroidissement solidifié : le réacteur était alors considéré comme "mort" et devait être enlevé et remplacé. Une fois lancé, on ne pouvait plus jamais l'arrêter : le terme " réacteur à usage unique " pouvait donc été appliqué aux réacteurs des modèles de cette nouvelle classe Alfa (ici à gauche une tentative récente des russes de le fourguer dans le monde civil). Si bien qu'il a fallu mettre en place toute une ingénierie spéciale pour maintenir en marche ces réacteurs qui ne pouvaient jamais s'arrêter sans s'autodétruire complètement. Près des quais de la base de Zapadnaya dans la presqu'île de Kola où les sous-marins étaient amarrés, un mécanisme spécial avait donc dû construit pour fournir de la vapeur surchauffée aux réacteurs des navires lorsque les réacteurs étaient en veille. Une frégate spéciale avait également été mise à quai pour fournir de la vapeur, pour les sous-marins Alfa, mais cette méthode de chauffage externe s'est avérée à la longue insatisfaisante, et les réacteurs de sous-marins ont donc dû être maintenus en fonctionnement même quand ils étaient au port. Les installations étaient toutes tombées en panne au début des années 1980 , et depuis lors $, les réacteurs de tous les sous-marins Alfa opérationnels ont été maintenus en permanence en cours de fonctionnement jusqu'à leur démantélement. "Cela a conduit à une usure supplémentaire sur ces réacteurs et les sous-marins ont dû aussi être en permanence habités. La difficulté d'essayer de chauffer l'extérieur des réacteurs de sous-marins a été l'une des raisons pour lesquelles la classe Alfa a été mis hors service à la fin des années 1980. Les réacteurs des sous-marins de la classe Alfa avaient était prévus pour une durée de vie opérationnelle de 70 ans au départ" souligne Gerhardt Thamm. En fait de 70 années de service prévus, il n'en feront qu'une dizaine, toute la série étant marquée par des incidents divers (ci-dessous l'installation d'un réacteur nucléaire dans un sous-marin de type Akula) :

Un des exemplaires s'est en effet figé complètement : le K-47, alors qu'il était aux ordres du commandant AS Pushkin. Ce sous-marin a subi un accident de réacteur en 1972 lors de ses essais en mer. Le liquide de refroidissement du métal "s'est figé" et il était donc impossible de retirer le combustible du réacteur. "Après cette période d'essai, le sous-marin a été démantelé. Le compartiment du réacteur a été rempli avec du furfural (?) et du bitume et placé sur une barge pour le transport vers la mer de Kara, où il devait être abandonné. Cependant, alors la barge transportant le réacteur a été remorqué hors de Severodvinsk, un ordre est venu du ministère soviétique de l'Environnement annonçant que la Convention de Londres venait d'être signé et le réacteur ne devait être jeté à la mer. Par la suite, la barge a été remorquée à la place sur de de l'île de Yagry en dehors du chantir Zvezdochka où il est resté jusqu'en 1994, où il a été décidé de le déplacer à Gremikha, où il sera alors stocké sur le rivage". Les russes ne sachant pas trop comment s'en sortir avec leurs réacteurs "figés", c'est la France, avec le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives qui a envoyé un dock flottant spécial appelé SD-10 pour le faire, à Gremikha.

Pour vérifier la nature des matériaux utilisés par les russes, les américains ruseront, ou auront de la chance. Ainsi c'est un assistant naval américain, le commandant William Bill Green quil, lors d'une visite de Leningrad en 1969-1970 ira chercher des débris de construction de sous-marins sur une décharge près du chantier de Sudomekh : un morceau de titane qui était tombé d'un camion yant quitté le chantier ! Même chose au milieu des années 70 ou deux analystes de sous-marins, Richard Brooks de la CIA et Martin Krenzke, du centre de recherches navales de Carderock, dans le Maryland visiteront cette fois un chantier... américain, qui avait acheté de la ferraille en vrac en URSS. Ils tomberont à leur grand étonnement sur un bout de titane, marqué "705", le numéro du projet russe de sous-marin !!!

La suite:

Les folies de la guerre froide (28) : dompter le titane, un problème ...

 

Réacteur nucléaire rapide à caloporteur plomb

technologie de réacteur nucléaire
Un réacteur nucléaire rapide à caloporteur plomb, aussi appelé réacteur rapide refroidi au plomb[1], est un réacteur de IVe génération qui présente un spectre de neutrons rapides et de liquide de refroidissement au plomb ou à l'eutectique plomb-bismuth.
Schéma d'un réacteur rapide refroidi au plomb.

Ce type de réacteur est développé par l'union soviétique dans les années 1960, et propulse les 6 sous-marins de la Classe Alfa mis en service de 1972 à 1983. 

 

Ils nous maintiennent dans la peur et le mensonge.


Le Double Arrêt !!! 

Sinon panpan cucul


Un an après avoir présenté le drone sous-marin Poséidon, le Président russe a évoqué la réussite de ses tests. Dans les heures qui ont suivi, la Défense russe a rendu publique la première vidéo des essais.

 


Les sous-marins nucléaires ex-soviétique
La rapidité des constructions (12 à 18 mois pour la 1er et la 2ème génération) s'est faite au détriment de la qualité. De 1967 à 1990, les Soviétiques ont compté 340 fuites sur les circuits primaires. Ils ont "perdus" 9 sous-marins nucléaires sur les 250 mis en service.

K-276

Le Kostroma pris de 3/4 avant. Remarquez le chiffre 1 dans une étoile peint sur l'avant du kiosque après la collision avec l'USS Baton Rouge. Pendant la seconde guerre mondiale, ce type de marquage servait à comptabiliser le nombre de victoires d'un sous-marin.

Le K-276 fut le deuxième et dernier SNA du projet 945 Barrakouda, mis en chantier le 21 avril 1984 au chantier n°112 Krasnoye Sormovo de Gorki, comme son prédécesseur le K-239. Lancé le 26 juillet 1986, le K-276 fut transféré par voie d'eau en août jusqu'à Severodvinsk pour achèvement et essais. Admis en service le 27 octobre 1987, le sous-marin fut affecté à la 1 FlPL de la 6 DiPL de la Flotte du Nord basée à Zapadnaya Litsa le 30 décembre.


Le K-276 rentrant à la base après la collision avec l'USS Baton Rouge le 11 février 1992.
(crédits photo : Dmitriy Doubayev)




Détail du massif du K-276 montrant, de gauche à droite, un périscope et les antennes Kora et Sintez. Le congé de raccordement à l'arrière permet de distinguer le K-276 du K-239.

 

Les dégâts sur le kiosque du K-276 suite à la collision.
Le Kostroma au mouillage en février 2000.


Le 20 juin 1991, le K-276 fut reversé à la 9 EsPL de la Flotte du Nord à Vidyaevo. Le 11 février 1992, en mer de Barents, le K-276 entra en collision avec le SNA américain USS Baton Rouge de la classe Los Angeles. En conséquence, le kiosque du K-276 fut fortement endommagé et le sous-marin fut envoyé en réparation le 28 mars au chantier SRZ Nerpa d'Olenya, où il resta jusqu'au 29 juin. Entretemps, le 3 juin 1992, le sous-marin fut rebaptisé B-276. Puis, le 6 avril 1993, le B-276 prit le nom de Krab, avant d'être finalement renonmé Kostroma le 15 novembre 1996. Le Kostroma fut placé en attente d'entretien en 2000, et sortit d'IPER le 29 septembre 2005 pour redevenir opérationnel.

 

Capsule de sauvetage du Kostroma en cours de

Le kostroma à la mer.





Le Kostroma à quai, avec, derrière, un SNA du projet 945A.

K-276 - Krasnayazvezda

 



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Le k-276 kostroma l'incident

Incident sous-marin au large de l'île Kildine 

De mai à juillet 1991, il est en mission opérationnelle avec l'équipage 582. Le 20 juin, il est affecté à la 6e division de la 9e escadre de sous-marins de Flotte du Nord, basée à Vidiaïevo.

Kiosque (sous-marin)

Le 11 février 1992, il entre en collision avec le USS Baton Rouge (SSN-689) de l’US Navy mais ne subit pas de dommages majeurs, son kiosque et son sonar anti-mines sont néanmoins très fortement endommagés.

(28) : dompter le titane, un problème ...

K-276 Kostroma — Wikipédia

On se contentera de recouvrir l'année suivante l'avant abîmé d'une sorte de toile, fixée sur le fond, afin de minimiser la lente destruction en cours. Mais le sous-marin abîmé, avec ses torpilles nucléaires encore à bord sera laissé sur le fond... en 1993, une nouvelle étude toujours autant inquiétante avait été menée : "l''enquête de 1993 a détecté du césium radioactif 137 des réacteurs corrodés mais déterminé que la contamination des réacteurs est restée faible.

Les folies de la guerre froide

K-278 Komsomolets — Wikipédia

Coulé en mer de Norvège, le 7 avril 1989
Il nous montre aucunes bâches dans la vidéo de 2019.

Radiation Leaking from Sunken Soviet-Era Nuclear Submarine ...

Et remarquer que le bâtiment était bien équipé d'ogives nucléaires (4)

------> Les "Tchernobyl" sous-marins (Il navigue dans les océans de la planète 245 réacteurs nucléaires, soit plus de la moitié des quelque 440 réacteurs des centrales nucléaires civiles qui produisent de l'électricité sur Terre, selon un rapport de "l'Observatoire des armes nucléaires françaises".)

Le K- 219 Naufrage en 1986 Au fond de l'océan, ce sont 32 têtes nucléaires qui reposent désormais : le sous-marin de type Yankee emportant 16 missiles à deux têtes chacun. C'était la première fois seulement que l'URSS avait annoncé officiellement la perte d'un de ses sous-marins sur accident. Le commandant Britanov.

Les folies de la guerre froide

 Catastrophe de ravitaillement du réacteur. Le K-431

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  • Image illustrative de l’article USS Scorpion (SSN-589)


En surface le 22 août 1960 au large de

USS Scorpion (SSN-589) — Wikipédia