Pour les Gouvernements de la terre...
Mercredi 16 janvier 2019
Prenez conscience !!!
Pour 2019, il risque d'y avoir un événement très graves, pour l'humanité.
Voir dans ce poste: le sous-marin K-219
Si vous voulez, vous pouvez toujours éviter cette évènement catastrophique, mais il faut le vouloir !!!
Nostradamus
Il nous a informés par des nombreuses fois, les datations des évènements. Pour ce qui est du jour et de l'heure, personne ne le sait, ni le Fils, mais le Père seul.
Publié le 24/03/2004
Par crainte d'avarie sérieuse, le croiseur lance-missiles russe à
propulsion nucléaire Pierre-le-Grand a été ramené précipitamment à quai,
probablement à son port d'attache à Severomorsk (Grand Nord).
« Tout est en ordre dans les parties où se rendent les amiraux et là où
ils ne vont pas, le bâtiment est dans un tel état qu'il peut exploser à
tout moment, y compris dans le réacteur nucléaire », a déclaré hier
l'amiral Vladimir Kouroedov.
Le croiseur est l'astéroïde 1999 KW4
Le plus grand croiseur nucléaire du monde, lancé en 1996 après avoir
passé plusieurs années à moitié achevé en raison des restrictions
financières, devra rester immobilisé au moins deux semaines. « Pendant
ce temps, toutes les insuffisances devront être éliminées », a insisté
le chef de la marine russe. Ce dernier a ajouté qu'« une telle attitude
des commandants conduit à l'anéantissement de la flotte », faisant
allusion au piteux état de l'armement russe. Le bâtiment, reconnu «
meilleur bateau de la Flotte du Nord » en 2003, avait déjà connu des «
insuffisances » lors de récents exercices en mer de Barents. Selon une
hypothèse des services secrets russes, le même navire serait par
ailleurs responsable du désastre du sous-marin nucléaire Koursk. Un
missile anti-sous-marin tiré par erreur par le Piotr Veliki aurait
coulé, en 2000, le submersible en mer de Barents entraînant la mort de
118 marins.
Une source au sein de l'état-major de la Marine explique toutefois cette
décision d'immobiliser le croiseur par un règlement de comptes au sein
de la marine russe.
Norvège: une fuite radioactive détectée sur l'épave d'un sous-marin russe
Au large de la Norvège, une grosse fuite radioactive a été mise à jour. Celle-ci serait en réalité bénigne.
The institute of Marine ResearchUne photo du sous-marin Komsomolets retrouvé au large de la Norvège.
NORVÈGE
- Une radioactivité 800.000 fois supérieure à la normale.
Rassurez-vous, cela ne représente aucun danger pour quiconque se trouve
actuellement en mer de Norvège, d’après l’Autorité norvégienne de sécurité de la radioactivité et du nucléaire (DSA).
Komsomolets -ou K-278- a coulé le 7 juillet 1989, après un incendie,
tuant 42 personnes à bord. Trente ans plus tard, de l’eau a été prélevée
d’une de ses bouches de ventilation.
The institute of Marine Research
Les
résultats sont plutôt effrayants: jusqu’à 800 Bq (Bequerels) par litre,
alors que la DSA annonce que le taux moyen en mer de Norvège est de...
0,001 Bq par litre.
Des torpilles dotées d’un nez avec du plutonium
Cette présence de radioactivité est notamment due à la présence de torpilles dotées d’un nez avec du plutonium.
The institute of Marine Research
Pourtant,
la DSA assure qu’il n’existe aucun danger pour la vie marine
norvégienne. L’épave est bien trop profonde (-1700 mètres) et les radiations se diluent suffisamment dans l’océan Arctique, écartant ainsi tout danger.
L’incident sous-marin au large de l'île Kildine fait référence à une collision entre le sous-marin nucléaireUSS Baton Rouge de l’United States Navy et le sous-marin nucléaireK-276 Kostroma de la Marine russe près de la base navale russe de Severomorsk, le . L'incident a eu lieu alors que le USS Baton Rouge
était engagé dans une mission secrète, apparemment destinée à
intercepter les communications militaires russes. Bien que la majorité
des sources affirment que le sous-marin américain avait pris la fuite, il est estimé que ni le Kostroma, ni le Baton Rouge n'étaient en mesure de se localiser l'un et l'autre avant la collision.
L'île Kildine (en russe : Кильдин) est une petite île de la mer de
Barents, elle est ... Le 21 août 2003, le sous-marin russe K-159 coule
au large de l'île Kildine alors qu'il était remorqué ...
Nous avons oublié de mentionner dans les environs de l'île Kildine que deux sous-marins ayant coulé le K-276 est le K-159
Sous-marin
de classe Alfa: Union soviétique, sous-marin, technologie des réacteurs
nucléaires, sous-marin soviétique K-278 Komsomolets, sous-marin
soviétique K-222
Le
11 février 1992, la flotte nucléaire soviétique de la flotte nordique
K-276 du projet 945 ... Le sous-marin nucléaire de l'URSS avec des
missiles de croisière
Le projet 705 « Lyra » (en russe : Лира) est une classe de sous-marins nucléaire d'attaquesoviétique, connue en Occident sous son code OTAN de classe Alfa.
Ils ont été les sous-marins les plus rapides au monde, et ceux à usage
militaire pouvant atteindre les plus grandes profondeurs de plongée,
seul le K-278 Komsomolets
étant capable d'égaler leurs performances en plongée maximale. Malgré
leurs remarquables caractéristiques, ces sous-marins se révélèrent
difficiles à maintenir durant leur vie opérationnelle, et finalement
leur utilité tactique fut vite contestée, même au niveau des instances
soviétiques, ce qui limita leur rôle à un emploi presque expérimental,
qui prit fin au début des années 1990. De nos jours, il n'existe plus qu'un seul exemplaire, non opérationnel, de ces navires, le K-373, stocké à la base navale de Zapadnaïa Litsa, tous les autres ayant été démolis.
Classe Alfa mis en service de 1972 à 1983
Les dégâts sur le kiosque du K-276 suite à la collision.
Cliquez sur l'image
Classe : K-276 Kostroma, projet 985
Marine russe Quille posée 21 avril 1984 Lancement 26 juillet 1986 Armé
27 octobre 1987 Statut En service ÉquipageÉquipage 59 officiers
Caractéristiques techniques Longueur 107 m Maître-bau 12,2 m Tirant
d'eau 8,8 m Déplacement 5 723 t lège, 6 927 t à charge Propulsion
réacteur nucléaire OK-650A Vitesse 35 nœuds en plongée
Longueur Sierra I 107 m Maître-bau Sierra I12 m Déplacement Sierra I 7 200 t (surface)
8 100 t (plongée) Propulsion 1 réacteur OK-650 à eau pressurisée de 190 MW Vitesse Sierra I 34 nœuds
Devant nôtre créateur la lumière nous sommes tous coupables l'un.
2000 L'ÉTAT piteux de l'armement RUSSE.
LE TEMPS
Laurent Nicolet, Moscou
Publié samedi 30 décembre 2000
Fidèle à ses promesses de puissance, le président Poutine renvoie des
bâtiments de la marine sur «tous les océans du monde». Parallèlement, la
Russie a battu en 2000 son record de ventes d'armement. L'armée russe
se trouve pourtant dans un état déplorable, dotée d'équipements
surannés. Le moral des troupes est au plus bas et les officiers songent
pour la plupart à se reconvertir.
«Les bâtiments de guerre russes doivent être présents non seulement dans
les régions traditionnelles mais aussi dans les eaux internationales.»
La nouvelle, annoncée par le commandant en chef de la marine russe,
l'amiral Vladimir Kouroïedov, n'a eu droit hier qu'à quelques lignes
indifférentes dans la presse nationale. Et pourtant le fait que l'an
prochain une dizaine de navires russes iront se promener dans
l'Atlantique, la Méditerranée et l'océan Indien, apparaît, comme une
tentative de la flotte russe de sortir la tête de l'eau, après une série
d'événements catastrophiques et humiliants – réduction des budgets, des
effectifs, détérioration du matériel, salaires impayés et surtout,
surtout, le drame du Koursk en août dernier. Bien sûr, la balade des
navires russes «sur tous les océans du monde» comme au bon vieux temps
soviétique, doit sans doute plus à l'autopersuasion psychologique et au
plaisir naïf de réaffirmer une présence militaire disparue qu'à une
réelle suprématie retrouvée.
La suite:
Quand Poutine a accédé officiellement à la présidence en 2000, l’armée
russe était plus ou moins dans l’état où elle se trouvait en 1991.
Beaucoup d’armements et d’équipements avaient plus de dix ans
Le Monde, 10/06/05:
La sécurité nucléaire de la flotte russe mise en cause
La Russie a construit plus de 450 réacteurs nucléaires pour sa flotte de
guerre, dont la puissance est comparable à celle de toutes les
centrales nucléaires russes. Les deux tiers de ces réacteurs se trouvent
au nord-ouest de la Russie. "Certaines installations nucléaires sont dans un tel état qu'on ne peut pas exclure une réaction en chaîne"
et donc un accident nucléaire, a relevé Mark Gerchikov, coordinateur
d'un rapport préparé par le groupe NNC (National Nuclear Corporation,
Grande-Bretagne et Canada), en coopération avec le ministère de
l'énergie atomique russe, présenté vendredi 10 juin à Moscou. Le Monde, 10/06/05: La sécurité nucléaire de la flotte russe mise en cause
Avec près de 120 mètres de long et plus de 11 mètres de haut, équipé de deux réacteurs nucléaires, le submersible K-278 Komsomolets (désignation Otan Mike)
“Les
niveaux que nous avons détectés sont clairement au-dessus de ce qui est
normal dans les océans, mais ils ne sont pas alarmants”, a expliqué
Hilde Elise Heldal, en charge de l’expédition.
Le Komsomolets,
long de 117 mètres, avait navigué pour la première fois en 1983 et
pouvait descendre jusqu’à 1250 mètres en mer.
Un engin à double coque, dont l'interne était en titane. Dessiné en
1966, l'engin fut repris en 1974, la quille n'étant posée que le 22
avril 1978 à Severodvinsk. Le K-278 (ici
à droite) sera lancé le 3 juin 1983 et reçu offciellement par la Marine
russe le le 28 décembre 1983. L'engin surprendra, en reprenant des
caractéristiques propres à la classe Alfa, dont le nombre peu élevé de
marins à bord (57, puis 64 maximum), preuve que l'automatisation à bord a
été bien conçue, comporte aussi une capsule de sauvetage dissimulée dans le kiosque, sous une ouverture en V. La
cabine de sauvetage est située au milieu des 7 compartiments principaux
de l'engin, dont le 2eme et le 3eme bénéficient de protection renforcée
pour servir de refuge en cas de problèmes ; l'accent a été mis sur la
sécurité, semble-t-il, à l'inverse de la mauvaise réputation qu'a la
Marine soviétique à l'époque : en ce sens, l'état d'esprit avait changé
chez les russes, qui n'en étaient plus semble-t-il à sacrifier
inutilement leurs marins (l'affaire du Koursk relancera le débat sur le
sujet)...
Le
9 juil. 2019 Selon un échantillon prélevé à côté du réacteur, le
Komsomolec émet cent mille fois la limite admissible. Un autre
échantillon n'a montré aucun risque de rayonnement. Le sous-marin
soviétique a coulé en 1989.…
K-27 en acier classique et à la forme d'U-Boot, apparu
dès 1962, après cinq années de construction. L'engin tuera 9 marins par
radiation après un emballement non maîtrisé de son réacteur : la mise
au point s'avérera en effet très difficile. Le mélange de plomb et de
bismuth utilisé dans le réacteur ayant un point d'ébullition élevé (1
679 °C), Il était en effet inutile de maintenir le réacteur sous
pression, comme c'était le cas avec les réacteurs à eau refroidie. En
revanche, il fallait maintenir les réacteurs constamment en chauffe de
sorte que la solution de métal ne se solidifie en marche, comme cela
aurait été le cas si la température était tombée en dessous de 125°C. Si
la solution durcissait, il devenait impossible de relancer le réacteur
avec l'agent de refroidissement solidifié : le réacteur était alors
considéré comme "mort" et devait être enlevé et remplacé. Une fois lancé, on ne pouvait plus jamais l'arrêter : le terme " réacteur à usage unique " pouvait
donc été appliqué aux réacteurs des modèles de cette nouvelle classe
Alfa (ici à gauche une tentative récente des russes de le fourguer dans
le monde civil). Si bien qu'il a fallu mettre en place toute une
ingénierie spéciale pour maintenir en marche ces réacteurs qui ne
pouvaient jamais s'arrêter sans s'autodétruire complètement. Près des
quais de la base de Zapadnaya dans la presqu'île de Kola où les
sous-marins étaient amarrés, un mécanisme spécial avait donc dû
construit pour fournir de la vapeur surchauffée aux réacteurs des
navires lorsque les réacteurs étaient en veille. Une frégate spéciale
avait également été mise à quai pour fournir de la vapeur, pour les
sous-marins Alfa, mais cette méthode de chauffage externe s'est avérée à
la longue insatisfaisante, et les réacteurs de sous-marins ont donc dû
être maintenus en fonctionnement même quand ils étaient au port. Les
installations étaient toutes tombées en panne au début des années 1980 ,
et depuis lors $, les réacteurs de tous les sous-marins Alfa
opérationnels ont été maintenus en permanence en cours de fonctionnement
jusqu'à leur démantélement. "Cela a conduit à une usure
supplémentaire sur ces réacteurs et les sous-marins ont dû aussi être en
permanence habités. La difficulté d'essayer de chauffer l'extérieur des
réacteurs de sous-marins a été l'une des raisons pour lesquelles la
classe Alfa a été mis hors service à la fin des années 1980. Les
réacteurs des sous-marins de la classe Alfa avaient était prévus pour
une durée de vie opérationnelle de 70 ans au départ" souligne
Gerhardt Thamm. En fait de 70 années de service prévus, il n'en feront
qu'une dizaine, toute la série étant marquée par des incidents divers
(ci-dessous l'installation d'un réacteur nucléaire dans un sous-marin de
type Akula) :
Un des exemplaires s'est en effet figé complètement : le K-47, alors
qu'il était aux ordres du commandant AS Pushkin. Ce sous-marin a subi
un accident de réacteur en 1972 lors de ses essais en mer. Le liquide de
refroidissement du métal "s'est figé" et il était donc impossible de
retirer le combustible du réacteur. "Après cette période d'essai, le
sous-marin a été démantelé. Le compartiment du réacteur a été rempli
avec du furfural (?) et du bitume et placé sur une barge pour le
transport vers la mer de Kara, où il devait être abandonné. Cependant,
alors la barge transportant le réacteur a été remorqué hors de
Severodvinsk, un ordre est venu du ministère soviétique de
l'Environnement annonçant que la Convention de Londres venait d'être
signé et le réacteur ne devait être jeté à la mer. Par la suite, la
barge a été remorquée à la place sur de de l'île de Yagry en dehors du
chantir Zvezdochka où il est resté jusqu'en 1994, où il a été décidé de
le déplacer à Gremikha, où il sera alors stocké sur le rivage". Les
russes ne sachant pas trop comment s'en sortir avec leurs réacteurs
"figés", c'est la France, avec le Commissariat à l'énergie atomique et
aux énergies alternatives qui a envoyé un dock flottant spécial appelé
SD-10 pour le faire, à Gremikha.
Pour vérifier la nature des matériaux utilisés par les russes, les
américains ruseront, ou auront de la chance. Ainsi c'est un assistant
naval américain, le commandant William Bill Green quil, lors d'une
visite de Leningrad en 1969-1970 ira chercher des débris de construction
de sous-marins sur une décharge près du chantier de Sudomekh : un
morceau de titane qui était tombé d'un camion yant quitté le chantier !
Même chose au milieu des années 70 ou deux analystes de sous-marins,
Richard Brooks de la CIA et Martin Krenzke, du centre de recherches
navales de Carderock, dans le Maryland visiteront cette fois un
chantier... américain, qui avait acheté de la ferraille en vrac en URSS.
Ils tomberont à leur grand étonnement sur un bout de titane, marqué
"705", le numéro du projet russe de sous-marin !!!
Ce type de réacteur est développé par l'union soviétique dans les années 1960, et propulse les 6 sous-marins de la Classe Alfa mis en service de 1972 à 1983.
Ils nous maintiennent dans la peur et le mensonge.
La rapidité des constructions
(12 à 18 mois pour la 1er et la 2ème génération)
s'est faite au détriment de la qualité. De 1967
à 1990, les Soviétiques ont compté 340 fuites
sur les circuits primaires. Ils ont "perdus" 9 sous-marins nucléaires
sur les 250 mis en service.
K-276
Le Kostroma pris de 3/4 avant. Remarquez le chiffre 1
dans une étoile peint sur l'avant du kiosque après la collision avec
l'USS Baton Rouge. Pendant la seconde guerre mondiale, ce type de
marquage servait à comptabiliser le nombre de victoires d'un sous-marin.
Le K-276 fut le deuxième et dernier SNA du projet 945 Barrakouda, mis en chantier le 21 avril 1984 au chantier n°112 Krasnoye Sormovo de Gorki, comme son prédécesseur le K-239.
Lancé le 26 juillet 1986, le K-276 fut transféré par voie d'eau en août
jusqu'à Severodvinsk pour achèvement et essais. Admis en service le 27
octobre 1987, le sous-marin fut affecté à la 1 FlPL de la 6 DiPL de la Flotte du Nord basée à Zapadnaya Litsa le 30 décembre.
Le K-276 rentrant à la base après la collision avec l'USS Baton Rouge le 11 février 1992.
(crédits photo : Dmitriy Doubayev)
Détail du massif du K-276 montrant, de gauche à droite, un
périscope et les antennes Kora et Sintez. Le congé de raccordement à
l'arrière permet de distinguer le K-276 du K-239.
Les dégâts sur le kiosque du K-276 suite à la collision.
Le Kostroma au mouillage en février 2000.
Le 20 juin 1991, le K-276 fut reversé à la 9 EsPL de la Flotte du Nord à Vidyaevo. Le 11 février 1992, en mer de Barents, le K-276 entra en collision avec le SNA américain USS Baton Rouge de la classe Los Angeles.
En conséquence, le kiosque du K-276 fut fortement endommagé et le
sous-marin fut envoyé en réparation le 28 mars au chantier SRZ Nerpa
d'Olenya, où il resta jusqu'au 29 juin. Entretemps, le 3 juin 1992, le
sous-marin fut rebaptisé B-276. Puis, le 6 avril 1993, le B-276 prit le
nom de Krab, avant d'être finalement renonmé Kostroma le 15 novembre 1996. Le Kostroma fut placé en attente d'entretien en 2000, et sortit d'IPER le 29 septembre 2005 pour redevenir opérationnel.
Capsule de sauvetage du Kostroma en cours de
Le kostroma à la mer.
Le Kostroma à quai, avec, derrière, un SNA du projet 945A.
De
mai à juillet 1991, il est en mission opérationnelle avec l'équipage
582. Le 20 juin, il est affecté à la 6e division de la 9e escadre de
sous-marins de Flotte du Nord, basée à Vidiaïevo.
Le 11 février 1992, il entre en collision avec le USS Baton Rouge (SSN-689) de l’US Navy mais ne subit pas de dommages majeurs, son kiosque et son sonar anti-mines sont néanmoins très fortement endommagés.
On
se contentera de recouvrir l'année suivante l'avant abîmé d'une sorte
de toile, fixée sur le fond, afin de minimiser la lente destruction en
cours. Mais le sous-marin abîmé, avec ses torpilles nucléaires encore à
bord sera laissé sur le fond... en 1993, une nouvelle étude toujours
autant inquiétante avait été menée : "l''enquête de 1993 a détecté du
césium radioactif 137 des réacteurs corrodés mais déterminé que la
contamination des réacteurs est restée faible.
Et remarquer
que le bâtiment était bien équipé
d'ogives nucléaires (4)
------> Les "Tchernobyl" sous-marins
(Il navigue dans les océans
de la planète 245 réacteurs nucléaires, soit plus de la moitié des quelque 440 réacteurs
des centrales nucléaires civiles qui produisent de l'électricité
sur Terre, selon un rapport de "l'Observatoire des armes nucléaires françaises".)
Le K- 219 Naufrage en 1986 Au fond de l'océan, ce sont 32 têtes
nucléaires qui reposent désormais : le sous-marin de type Yankee
emportant 16 missiles à deux têtes chacun. C'était la première fois
seulement que l'URSS avait annoncé officiellement la perte d'un de ses
sous-marins sur accident. Le commandant Britanov.